Randonnée (sentier de montagne, parfois étroit et exposé)
Randonnée alpine (passage équipé ou très exposé, névé, blocs)
A60
Garmisch-Partenkirchen » Linderhof
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7h35 |
28.4 km
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953 m
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722 m
Cette étape est certes très longue mais elle regorge aussi d’une grande diversité : du joli lac Pflegersee au cadre enchanteur de la chaîne occidentale d’Ammer et à l’immaculé Elmaugrieß. Le couronnement est grandiose avec le château de Linderhof, ancienne résidence de Louis II, roi de Bavière.
Depuis Garmisch-Partenkirchen, prendre le sentier Kellerleitensteig vers le lac Pflegersee. Le sentier de randonnée passe à travers bois (pente douce) en direction du cadre pittoresque du lac Pflegersee, où l’on peut profiter de l’auberge pour se reposer. Depuis l’auberge, prendre le sentier partant vers le nord et rester à gauche. Après la petite clairière, le sentier tourne vers le sud et devient plus profond. Le sentier d’éboulis devient étroit et serpente vers le sud de la crevasse de Lahnenwiesgraben à travers bois. Le sentier conduit à plus de 1 000m, sur un terrain partiellement dégagé, au pied du Königsstand. Il descend sur une courte distance à travers bois mais remonte ensuite à plus de 1 100m avant de tourner vers le nord. Descente à travers bois. On arrive bientôt à une route forestière. La suivre, en restant à gauche, sur une courte distance en montée. Après le virage en épingle, prendre le sentier d’éboulis qui tourne sur la gauche (est). Le sentier devient rapidement plus étroit. Il laisse soudainement place à une route forestière qui s’oriente vers le nord. Dans la courbe, un sentier bifurque vers le nord en direction de l’alpage Enningalm. Après quelques mètres en altitude, on arrive à un sentier de randonnée venant de l’est. Le prendre en direction de l’ouest (sur la gauche) pour arriver à l’alpage Enningalm (approx. 2h10). Depuis l’alpage Enningalm, descendre par le sentier de randonnée en direction du nord. La descente à travers bois est raide jusqu’à arriver au sentier venant de l’alpage Stepbergalm. De là, le sentier s’élargit et perd de sa raideur. Continuer à descendre à un rythme tranquille jusqu’à l’alpage Rotmoosalm. Ici, prendre la route forestière tournant vers le nord-ouest par le pâturage et rester à droite. La Via Alpina mène vers le nord en direction de la bouche de la vallée Elmau. Après le petit pont, rester à gauche et suivre la route forestière à travers bois sur la bord est (droite) de l’Elmau. Au pont, traverser l’Elmau. Après une courte distance, une autre route forestière bifurque à angle droit sur la gauche. La prendre jusqu’à ce qu’un sentier bifurque sur la droite (nord). Prendre ce sentier pour arriver au Kuchelbach, qu’il faut traverser. Au refuge Kuchelbach, continuer sur le sentier Fürstenweg (vers le nord) et la bouche de la vallée. Juste avant la route principale, une route forestière bifurque sur la gauche. La prendre en direction de Höllgraben. Prendre la deuxième à droite et rester de nouveau à gauche. Au niveau du petit pont, rester à droite et prendre le sentier d’éboulis. À la route principale, tourner à gauche aux première maisons. Ici, traverser la route principale et prendre la route d’accès pour le château de Linderhof. (Christina Schwann, OeAV)
Patrimoine naturel et culturel
Le légendaire Roi bavarois Ludwig II (aussi appelé « Kieni ») fit construire le château de Linderhof dans un lieu retiré et au calme. Construit dans les années 1870, il s’agit du seul château qui ait été entièrement achevé du vivant du « roi de compte de fée ». C’est là que le monarque mélancolique, fatigué de son travail, voulait se retirer des cérémonies de la cours. Un lac se niche dans la grotte artificielle du parc, sur lequel le Roi Ludwig était mené à bord d’un bateau en forme de coquillage. Les circonstances de sa mort ne seront probablement jamais expliquées : il se noya le 13 juin 1886 dans le lac de Starnberg, deux jours après avoir été déclaré malade mentalement et invalidé. Ettal et son célèbre monastère se trouve à neuf kilomètres à peine de Linderhof. C’est l’Empereur Ludwig de Bavière qui l’a fait construire en 1330. La légende raconte que la même année une Madone blanche conduisit le monarque jusqu’ici après une campagne en Italie. Le monarque y aurait alors fondé le monastère en son honneur. Il y fit venir des moines bénédictins et fonda un nouvelle ordre des chevaliers, qui ne dura que peu de temps. Ettal devint un lieu de pèlerinage mondialement connu, consacré à la Vierge Marie. En 1744, un incendie majeur ravagea le monastère, qui fut restauré en 1745 sous la direction de Schmuzer, l’architecte des lieux, à partie d’après les plans d’Enrico Zuccalli. La section médiévale au centre fut donc préservée et reçue un dôme baroque. Pratiquement tous les monastères furent victimes de la sécularisation de 1803. En 1900, la monastère retourna entre les mains de l’ordre bénédictin et en 1907 Ettal redevint une abbaye. Des portions de l’actuel monastère, construit au 20ème siècle, accueillent une école et son internat. Les Alpes d’Ammergau forment une région de montagne aux nombreux pics qui se prolonge à l’ouest entre Loisach et Lech, depuis la chaîne d’Estergebirge. Ont les appellent aussi les monts Ammergebirge (d’après la rivière Ammer) et représentent une ramification des pré-Alpes bavaroises. Au sein des monts Ammergebirge on trouve des différences entre les divers groupes montagneux. Alors que les groupes du nord sont souples et ont une forme arrondie (zone de flysch), des pentes plus raides dominent au sud, même s’il s’agit moins de murs abruptes que de faces rocheuses dégarnies. Sur la crête Klammspitzkamm, ainsi que sur des portions des groupes Hochplatten et Säulings à l’ouest, on trouve des montages vertes et peu de rochers aux sommets. Des altitudes plus élevées sont atteintes dans les régions de Kramer, Kreuzspitz et Daniel (est, centre et sud), avec des sommets composées d’une imposante couche de dolomite principale et de calcaire (calcaire feuilleté), une partie de la nappe de Lechtal qui fut déplacée jusqu’ici pendant l’orogenèse. Les « Grieße » sont des pierriers avec peu de végétation provenant de la dolomite, qui s’effrite ensuite. (Michael Kleider,)
Autres grands itinéraires et variantes
Possibilité de prendre le sentier Karmersteig via le Kramerspitz en direction des alpages de Stepbergalm et de Rothmoosalm. En raison de l'important dénivelé, cette marche est beaucoup plus fatigante et longue que d'autres.
Coup de cœur, critique ? Entrez votre propre commentaire sur cette étape. Pour des remarques plus générales, merci d’utiliser la fonction commentaire de la page La parole aux Via Alpinistes.
hotel linderhof kann über booking com gebucht werden, DZ 112 E, eine Alternative ist der Aufstieg zum August Schuster Haus (ca. 1St. 30 min) telef anmelden 004988223567
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L'hôtel Linderhof peut être réservé par le biais du service de réservation, DZ 112 E. Une alternative est l'ascension à la maison August Schuster (environ 1h30). Inscrivez-vous pour un numéro de téléphone 004988223567
Roger Caffin - 13/09/2012
Hotel Linderhof is an extremely popular tourist hotel. It is very expensive, and MUSt be pre-booked some days in advance. Ther is no alternate accomodation
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Hôtel Linderhof est un hôtel touristique très populaire. Il est très coûteux, et doit être réservé à l'avance quelques jours à l'avance. Ther n'est hébergement alternatif
Christoph Bücheler - 25/08/2010
Alternative für Genießer: Ab Garmisch auf dem Kramerplateauweg entlang der Südseite des Kramers bis zum Abzweig zur Stepberg-Alm. Dann auf teils steilem Wald- und Bergpfad Aufstieg zur Stepberg-Alm mit hinreißender Aussicht auf den Wetterstein mit Zugspitze. Nach lohnender Einkehr auf der wunderschön gelegenen Alm weiter in Richtung Rothmoos-Alm zur Normalroute. Weniger ermüdende Fahrwege und kaum länger.
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Alternative pour les connaisseurs: A partir de Garmisch sur Kramerplateauweg le long de la branche sud de renforcer la Kramers-Alm. Puis, une forêt raide et alpinisme chemin pour l'étape-Alm avec des vues magnifiques sur la Wetterstein avec Zugspitze. Après l'arrêt intéressant sur le pâturage magnifiquement situé et vers Roth Moss Alm à voie normale. Moins fatiguant routes et à peine plus longues.
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